Privation d’orgasmes et cie pour Oclide

Quelques heures sont passées, je me retrouve désormais dans notre salon où Maître M a décidé que je serai encore le pivot de sa perverse balançoire. Une nouvelle fois, des poids, des objets variés ont été accrochés à mes lèvres intimes. Outre le volume que cela représente qui apporte d’autant plus d’obscénité à la scène, je ressens la douleur qui s’amplifie. Le bruit de ferraille humiliant des poulies et des crochets couvre mes gémissements. Lui, assis confortablement sur le canapé renforce l’amplitude du balancier pendant de longues minutes.