« Un samedi soir…vu par le Maître  » -1ère partie

Un samedi soir…..vu par le Maître

Tous ces textes publiés (et ceux à venir!) nous décrivent les états d’âme fluctuant d’Oclide. Cependant, qu’en penses le Maître ? Comment vit il ces moments de perversion ? Ce texte retrace « Un samedi soir » déjà en ligne mais vécu au travers des yeux de Monsieur.

Dimanche, journée qui débute doucement en famille. Pourtant mon esprit se consacre déjà sur les événements de la soirée. Je sais qu’elle sera ma soumise et moi le Maître. Celui qui contrôle son plaisir, celui pour qui elle va s’offrir. Chacun son rôle. Pour me préparer et organiser notre terrain de jeux, j’imagine la mise en scène, je me projette, je construis pas à pas mon fil conducteur.

Je vaque à mes occupations dans la maison tenant mon rôle de père de famille, mon attitude ne laisse rien transparaître des tractations de mes pensées. En fin de matinée, j’ai monté mon scénario : cette séance se déroulera autour du thème principal de l’humiliation ainsi que de l’utilisation de la poutre présente dans notre chambre. En ce moment, je la regarde, occupée avec les enfants, à virevolter dans la maison.

Dès que nos regards se croisent, elle sait que je suis en train d’organiser la soirée, elle sourit. Bien que je bâtisse mon scénario avec minutie, je n’occulte pas les surprises qu’elle découvrira au travers de la mise en œuvre. Je m’éclipse dans la chambre ayant quelques détails techniques à régler. La poutre verticale trône dans la chambre. Satisfait, je peaufine ensuite les options tout au long de l‘après midi, je prévois trois séquences : une première autour de la table basse qui fixera nos statuts soumise/maître, la suivante autour de la poutre de la chambre, et enfin une position accroupie où je la finirai. Bien souvent il y a des variations en cours de séance…

Tandis que la journée passe, je la caresse régulièrement et l’embrasse. Toutes ces gestes font partis de sa préparation mentale et ont une signification pour nous, beaucoup de sentiments aussi divers que la tendresse ou la perversité y trouvent leur place.

Enfin, les enfants sont couchés. A moi de jouer. J’ai prévu un dîner, avec collier, pour la mettre dans l’ambiance, sa mise en bouche préférée. Tout en suivant mon plan, je dispose les coussins par terre devant le canapé. Elle l’ignore mais mes ustensiles sont à disposition dans la chambre et prêts à l’emploi. Je l’observe, dans l’attente de mes gestes, je perçois sa progression de son positionnement mental, celui de soumise. Pour ne pas qu’elle s’inquiète des enfants, encore chuchotant en haut de l’escalier, je lui noue un foulard autour du cou couvrant son collier. Petit à petit, j’ôte son soutien-gorge, je lui fixe des pinces sur les tétons que je dissimule sous son pull, d’extérieure sa tenue est irréprochable.

Il est tard, je peux maintenant installer sa laisse. La préparation devient physique et mentale. Je poursuis en doigtant sa chatte. Je bande. Et ma perversion grandit. Assise par terre, je caresse doucement sa chevelure courte semblable au pelage d’un chien. Je l’ai fortement incité à adopter cette coupe. Ma petite chienne. Cette mise en scène la conditionne, ce geste explicite et tendre symbolise son obéissance. Elle baisse la tête docilement. Rien ne presse, je prends mon temps. Je la laisse regarder sa série, en lui montrant quelques scènes de films porno et en tirant sur sa chaîne régulièrement. Nous allons même fumer une cigarette. Je la sens décontractée, à point. Moi, j’imagine la suite. Une nouvelle idée me vient à l’esprit, je guette son envie d’uriner car j’envisage une surprise dégradante pour elle. La question de son consentement ne se pose pas en voyant ses lèvres luire de mouille.

Je suis curieux de sa réaction lorsque je lui annonce que je l’accompagne alors qu’elle se rend aux toilettes. Ma soumise est maintenant assise sur le trône, gênée elle ne parvient pas à uriner à ma plus grande satisfaction. Le conditionnement psychologique doit s’alterner avec celui qui est physique. Ma queue s’enfourne promptement dans sa bouche, je vais me servir d’elle. Je la retourne, elle se retrouve maintenant plaquée contre le mur, recevant ma verge au fond de son vagin, je l’entends gémir. Cette action calme mes pulsions.

fin de la première partie

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