Quelquefois, nul accessoire n’est nécessaire pour transformer Oclide en esclave. Elle doit simplement sucer son Maître. Mais ce soir, mortifiée, elle ne parvient pas à le faire raidir.Honteuse, elle se sent humiliée. Ne l’excite t’elle plus ? A quoi sert elle ? Juste un réceptacle peut être ?
Nous rentrons du travail. Semaine particulière, sans enfant. De fait, je porte mon collier, à peine la porte franchie. Nous vaquons à nos occupations habituelles, cette transition à son importance car nous avons besoin d’échanger sur notre journée avec ses joies et son stress. Néanmoins, je sens à travers ces activités, la présence du collier qui s’est réchauffé au contact de ma peau. Exposé à la vue de tous, sa signification est réelle et mon esprit se conditionne plus rapidement pendant que nous discutons paisiblement.
Lorsque le moment du dîner s’approche, je m’installe comme à mon habitude au pied de la table et il accroche la lourde attache à mon cou. Le repas se déroule gaiement, s’éternise quelque peu, seulement ponctué par les quelques cliquetis de ma chaîne. Maître M attrape son téléphone et se plonge dans les actualités sportives. Après une courte durée, sans lever les yeux de son écran, il m’ordonne de le sucer. Je m’approche de lui et commence une fellation. Au bout de quelques minutes, je remarque que quelque chose ne va pas. Sa queue est molle, inerte. Elle ne réagit pas à ma bouche avide.
Pourtant, je m’applique à enrouler ma langue autour de son pénis, lui avaler ses testicules et descendre le long de ses fesses. Cela m’excite et je commence à piailler, m’agitant à genoux devant lui.
« Tu ne me fais pas bander ».
La phrase tombe, humiliante. Je suis confondue par cette attitude, abaissée par le désir que j’échoue à faire naître, par le langage corporel inexpressif et par le mépris de sa posture inattentive vis-à-vis de moi. Il reste toujours concentré sur ses lectures. Mes efforts n’aboutissent pas. Ma frustration s’amplifie, à la fois corporelle et psychique.
« Alors, chienne ? »
me lâche t il, méprisant, un sourire narquois aux lèvres, il m’invective cependant de poursuivre. Honteuse, je redouble d’efforts dans ma succion et décide de tout prendre en bouche, sa queue et ses couilles. Je m’étouffe presque mais je prends beaucoup de plaisir à plaquer ma bouche sur son sexe. J’éprouve un grand contentement sur le fait de pouvoir tout gober.
Soudain, je perçois un tressaillement, son phallus commence à se raidir, cogne contre mon palais et se réveille enfin. Ses pulsations s’accroissent et tapent au fond de ma gorge, je peine à fermer la bouche. Je me rends vite compte que je ne pourrai pas garder l’ensemble, à contre cœur, le laisse donc s’extraire ses couilles pour me concentrer sur son pénis. Cet étouffement contraint me stimule, provoque des répercussions sur mon corps aux aguets et pourtant je ne parviens pas à garder l’objet de mon plaisir, je les laisse s’échapper, dépitée. Il bande dur et je m’applique à lui donner du plaisir pendant que des frissons me secouent.
Mais, Maître M ne jouit pas et repousse ma tête. Un peu perdue, je recule, assise par terre et lève les yeux vers son visage hautain.
« Tu aimes sucer, petite pute, tu vas t’amuser ce soir. Mais pour l’instant discutons ».
A ma grande surprise, il entame une conversation anodine comme nous entretenons ordinairement. Et il débande. Au bout d’un certain temps, il m’ordonne de recommencer à le lécher. Impatiente, j’introduis sa verge amorphe ainsi que ses voisines dans ma bouche. Je m’active avec entrain car mon excitation, à moi, est loin d’être retombée, mais le même manège recommence. Il ne bande pas, tout à son téléphone. Je continue car je veux profiter de ce volume tordant mon museau, gonflant mes lèvres intimes de plaisir et surtout faire réagir cet organe qui me résiste. Mes ondulations et mes couinements ont raison de sa concentration car les tressaillements reviennent. Ma mâchoire s’agrandit au maximum et je suffoque à nouveau avant de laisser s’échapper une partie de mon excitation…Et la discussion reprend. Je m’immobilise encore à bout de souffle.
Cette scène va se répéter encore deux fois. Mon état de fébrilité est très élevé et je me sens humiliée d’être utilisée comme un objet. Je suis toujours à genoux devant lui, mon regard accompagne ma voix suppliante qui quémande la délivrance. Il refuse, bien sûr, et exige que je me retourne afin que j’officie en tant que vide couilles. Promptement, je l’entends râler en se vidant dans mon cul pendant que je peine à contrôler un orgasme puissant. Mes émotions sont contradictoires, heureuse de son plaisir, certes, mais complètement frustrée. Pourtant, cette séquence est terminée et je pars prendre une douche, rageuse.
Une fois couchés, je me blottis dans ses bras comme de coutume. Sa respiration est apaisée, il commence à s’endormir, je l’envie et ne peux pas me retenir d’implorer ses caresses en me frottant, lascive, contre son corps. Je saisis sa main pour la guider vers ma vulve en feu mais il me chasse négligemment plusieurs fois. Cela ne met pas en doute ma détermination, bravant les interdits, et je grimpe sur lui, saisis sa queue pour le masturber et la faire entrer en moi. En vain. Excédé, il me retourne, enfonce son doigt dans mon cul encore ouvert puis me le fait téter et me faisant remarquer que j’ai la chance de goûter à son sperme. Il finit par me repousser à ses pieds et exige que je m’endorme ainsi. Je suis encore rejetée, ne pouvant plus me serrer contre lui. Je serai seule pour dormir. Fiévreuse , je dois me calmer, encore une fois, et je m’endors en lui léchant les pieds. Je me rassure, tout de même, en repensant à son éjaculation. Il me désire.
Je lis doucement et attentivement, c’est fantasmagorique et intriguant !
Je trouve l’article facile a lire du coup ca laisse de la place à l’imagination…
je continue de lire…
Cher apprenti, le cerveau est le principal moteur de mes perversions.
J’espère que mes articles peuvent stimuler le votre…
Merci pour ce message.
Oclide